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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 10:58

L'article qui suit est volontairement simplificateur et a essentiellement pour objectif de cerner la notion de cancer et de faire apparaître les mécanismes cachés qui en sont à l'origine et les solutions faciles à mettre en oeuvre.


Le cancer est le nom donné à une forme élaborée et différenciée d'une prolifération cellulaire anormalement importante, avec formation d'agglomérats qui parasitent et/ou attaquent les cellules saines. En quelque sorte, cela revient à donner un nom à une entité ou une égrégore (ou un ensemble groupé d'entités et/ou égrégores) maléfique qui a réussi à se "matérialiser" en soi; c'est le démon intérieur qui prend une forme plus ou moins importante, selon son stade de "développement". Le cancer fait l'objet d'une attention considérable des institutions publiques locales, nationales et internationales. L'OMS a même constitué un "aide-mémoire" sur le sujet.

 

La tumeur consiste en une augmentation de volume d'un tissu; elle peut être bénigne et isolée, comme dans le cas d'une verrue ou d'un grain de beauté,  ou maligne, c'est à dire avec un potentiel de prolifération à travers le sang ou la lymphe avec destruction de structures saines. Les tumeurs se développent souvent à partir de lésions. Leur appellation laisse perplexe puisqu'elle révèle un sens caché porteur d'un message relativement évident : "tu meurs", qui est facilement décodé par notre inconscient et qui pèse d'autant plus qu'il est prononcé par un médecin. Poser le diagnostic de "tu-meur" revient donc à jeter un sort de mort sur quelqu'un. Fort heureusement, les tumeurs ne sont pas toutes potentiellement mortelles, loin de là; d'où la distinction entre les tumeurs bénignes et malignes. Il existe différents types de tumeurs selon l'endroit où elle se trouve : carcinome (dérivé du terme cancer) ou épithélioma se développent à partir de tissus épithélial comme la peau ou les muqueuses, sarcome (, hémopathie maligne (que ce soit des cellules de la moelle osseuse = leucémie, du système lymphatique = lymphome ou des cellules de l'hématopoïèse = myélome multiple ou maladie de kahler) et des cellules neuroectodermique (glioblastome, développé à partir du système nerveux).

 

Les traitements que nous connaissons le mieux pour "traiter le cancer" consistent à attaquer une "zone cancereuse" en stoppant la mitose (division cellulaire) voire même en détruisant des cellules :

- par la chimiothérapie, en administrant de substances chimiothérapeutiques;

- par la radiothérapie, en exposant le patient à des radiations;

- par la chirurgie, en enlevant les tumeurs malignes, dans la mesure du possible.

 

Ces trois traitements sont de nature offensives et prennent pour cible les "cellules cancéreuses", c'est à dire qu'ils considèrent avant tout l'aspect physique du "cancer". On peut légitimement se demander si ces traitement ne sont pas trop réducteurs, voire même s'ils ne feraient pas plus de mal que de bien et même s'ils ne contribueraient pas à l'affaiblissement de la santé du patient, le faisant attraper davantage de maladies et précipitant son décès (un peu comme le traitement contre le SIDA, avec tous ses effets secondaires)... Au contraire, une approche holistique nous demande de considérer le patient dans sa globalité et réfléchir non seulement aux origines du cancer sur tous les plans (pas seulement au plan physique), mais aussi à un véritable accompagnement du patient afin de l'aider à se reconstruire, à fortifier sa santé et son système immunitaire.

 

Le cancer est devenu un réel phénomène de société qui s'est largement développé dans les "pays industrialisés".


Les causes sont très nombreuses dans notre société (sources diverses laissées à votre appréciation) :

- les cancérogènes alimentaires naturels  que nous ingérons, comme l'alcool, les virus, bactéries ou parasites ;

- les cancérogènes alimentaires artificiels que nous absorbons en buvant et en mangeant, que nous les nommions produits chimiques, qu'ils soient destinés à protéger les cultures (comme les biocides) ou à rendre l'eau et les aliments propres à leur consommation (comme le "chlore" ou d'autres agents de traitement pour lesquels un seuil de toxicité a été fixé),

- les produits cosmétiques chimiques, dont le risque n'est pas suffisamment étudié à l'heure actuel, mais dont on sait que diverses formes "d'allergies" peuvent apparaître, sans que l'on comprenne forcément pourquoi ;

- les cancérogènes de notre environnement, qu'il s'agisse de fibres réalisées à partir de matériaux naturels ou artificiels (comme l'amiante ou bien d'autres fibres - la question de l'aspect cancerogène de la laine de verre ou de roche n'est pas encore véritablement tranchée),de la pollution atmosphérique (par les industries, les gaz chimiques, les véhicules terrestres, ferrés, maritimes et aériens, ...) et la pollution intérieure (des produits chimiques et fumées à l'intérieur de notre habitation), de la pollution que nous nous infligeons (comme le tabac ou d'autres drogues);

- les cancérogènes d'ordre électromagnétique, plus sujets à débat, bien que certaines études montrent qu'une forte exposition de champs électromagnétiques sur des animaux de laboratoires leur provoque des tumeurs

comme les lignes à haute tension, les ondes wifi ou des téléphones portables ou des antennes relais (les études se contredisent mais de nombreuses expériences montrent l'influence dangereuse des ondes électromagnétiques sur les animaux faibles et fortement exposés);

- les cancérogènes dus aux rayonnements des UV, à la radioactivité, etc.

- ...

 

L'aspect cancerogène d'un produit ne signifie pas pour autant qu'il causera le cancer mais qu'il constitue un facteur de risque, essentiellement par rapport à la durée, à l'intensité et à la répétition de l'exposition ou de l'absorption. D'autre part, il faut bien avoir conscience qu'il existe tout un panel de symptômes entre l'état de bonne santé et l'état de cancer. Le fumeur peut développer par exemple toutes sortes d'affections respiratoires ou d'allergies, il peut être plus souvent malade, etc.

 

Voici quelques exemples officiellement reconnus parmi les formes de cancer les plus courantes :

- cancer du poumon causé par le tabagisme

- cancer du foie causé par l'abus d'alcool

- cancer du colon causé par des lésions et occlusions intestinales dues à une alimentation trop carnée

- cancer du sein suite à une surexposition aux UV, une consommation d'alcool régulière et importante ou même en rapport avec un traitement hormonal (puisqu'il existe des cancer du sein "hormonosensibles")

- cancer de l'estomac causés par une alimentation trop riche en alcool, sel, graisses, nitrates... ou par un manque d'hygiène avec l'infection par des bactéries (que ce soit la vôtre, celle du cuisinier ou du service...)

- cancer de la peau causé par une surexposition aux UV

 

L'exposition et l'absorption de facteurs cancérogènes ont une action qui dépend aussi beaucoup du "terrain". Le cancer et ses symptômes ne sont en effet que la partie visible de l'iceberg.


Le "terrain", c'est à dire l'état dans lequel nous sommes, non seulement au niveau physique mais aussi au niveau des corps subtils, détermine la facilité avec laquelle nous pouvons nous "protéger" contre les dysfonctionnements tels que le cancer.

 

A la base, nous ne disposons déjà pas du même patrimoine génétique, nous n'avons pas subi la même exposition aux stades foetal et embryonnaire ainsi que dans l'enfance et nous ne sommes donc pas égaux devant les maladies,  cancer y compris. Ainsi, certains "gros fumeurs" pourraient passer leur vie sans développer de tumeur maligne tandis que de petits fumeurs pourraient en contracter une rapidement. La question véritable est : le jeu en vaut-il la chandelle ?

 

L'OMS précise qu'environ 30% des décès par cancer sont dus aux cinq facteurs de risque comportementaux et alimentaires que sont :

- un indice élevé de masse corporelle,

- une faible consommation de fruits et légumes,

- le manque d'exercice physique,

- le tabagisme et

- la consommation d'alcool.

 

Même si nous nous trouvons dans les 70% autres, cela ne veut pas dire pour autant que ces facteurs n'ont pas joué, mais qu'ils n'y ont pas joué le rôle majoritaire selon les sources de l'OMS...

 

Les enfants à naître, les jeunes enfants ainsi que les personnes âgées, de même que les personnes ayant déjà une santé fragile, affaibli ou non par certains handicaps ou maladies, sont les plus susceptibles de développer des tumeurs bénignes ou malignes. C'est pour cela que la femme enceinte doit surveiller de très près son alimentation et éviter toute consommation de tabac et d'alcool, ou encore que la consommation d'alcool et de tabac est très fortement déconseillée aux jeunes de même que leur exposition aux UV, et que les personnes âgées doivent faire très régulièrement des contrôles de santé.

 

La capacité à conserver une bonne santé varie donc à la fois d'un individu à l'autre, mais aussi tout au long de la vie. Pour accélérer notre récupération, nous devons concentrer nos efforts sur tous les plans : physique, énergétique, astral, aural, moral, mental et spirituel. L'entretien d'une bonne énergie, d'émotions et sentiments positifs, de relations bénéfiques, de pensées positives et de bonnes connexions spirituelles est donc très important dans cette récupération. Il est donc fortement conseillé de prendre un peu de temps pour des activités physiques revitalisantes et facilitant la circulation de l'énergie (yoga, tai chi, qi gong, ...), se rendre dans des milieux plus naturels, plus énergétiques, faire de l'hydrothérapie sous toutes ses formes y compris celle du colon, apprendre à faire de l'humour, échanger des blagues ou regarder des films ou vidéos humoristiques (Rémi Gaillard, Very Bad Blagues, les Inconnus, les Nous C Nous, etc.), tisser des relations plus pures et plus sincères, mettre à la poubelle ses vieilles croyances néfastes, prendre du temps pour faire de la méditation et de la visualisation, voir son potentiel de guérison intérieure à tous les niveaux, etc.

 

Il est important de se guérir non seulement au niveau physique, mais aussi aux niveaux subtils. L'approche humaine de nos contemporains a tendance à simplifier les plans subtils en les résumant sous un angle "psychologique". Toutes les "maladies" ont un sens psychologiques. Si cela n'apparaît pas évident au premier abord, ce n'est en fait que regarder la maladie sous d'autres angles que l'angle purement physiologique. De plus, dans l'origine de la maladie, on retrouve tout un tas de facteurs qui se sont mis en place progressivement de manière subtile et qui ont ensuite pu permettre l'installation de ce "cancer"...


Au niveau psychologique, la confrontation à toute situation difficile passe par les 7 étapes du deuil :

- le choc

- le déni

- la colère et le marchandage

- la tristesse

- la résignation

- l'acceptation

- la reconstruction

 

Ce processus est normal; il s'agit de prendre conscience de tout ce qui émerge en nous et d'y apporter les bonnes réponses. Il ne faut pas pour autant s'attarder trop sur ces étapes car elles ne font que révéler ce qu'il y a en nous. Lorsqu'un de nos proches meurt, par exemple, le deuil dont il s'agit est en réalité plus un deuil de l'attachement à cette personne qu'une réelle compassion avec le défunt; d'ailleurs, la plupart des personnes qui font une expérience de mort imminente (EMI=NDE) éprouvent un mieux-être très important en se détachant de leur corps physique et n'y reviennent que par "nécessité" ou pour leurs proches...

 

Dans ce processus de deuil qui peut être transposé à toute phase importante de changement dans notre vie qui nous est imposé, ce n'est qu'à la dernière étape que nous pouvons réellement nous prendre en main. Si nous prenons conscience que nous co-créons notre réalité, ce sera plus facile pour nous d'accepter la maladie et ensuite de "lutter contre" le cancer...


Mais faut-il "lutter contre" le cancer ?


La réponse semblerait être affirmative dans notre société occidentale, d'autant plus que les organismes et les institutions qui oeuvrent pour la santé ont plus tendance à se focaliser sur le traitement des maladies que l'amélioration du bien-être. C'est ainsi que l'on choisit de mettre des produits chimiques pour attaquer les bactéries plutôt que de réfléchir à une amélioration de la qualité de l'eau, que ce soit en construisant des châteaux d'eau utilisant la géométrie sacrée et des notions élémentaires sur l'exposition solaire et l'ionisation de l'eau.

 

Pourtant, la prévention tient une place de plus en plus importante dans nos mentalités et nous prenons conscience qu'une bonne information nous permet d'éviter un grand nombre de problèmes. Plus encore, les éléments de prévention jouent même un rôle dans le traitement des symptômes une fois qu'ils sont apparus !

 

L'OMS cite entre autres, au titre de la prévention :

- éviter ou limiter les facteurs de risque

- prévention contre les virus de l'hépatite B et du papillome

- réduction des risques professionnels

- réduction de l'exposition au soleil

 

Cette liste n'est pas exhaustive mais se veut rassurante. D'autres formes de prévention plus élaborées ont fait leur apparition, en revenant à un mode de vie et une nourriture plus saine et plus naturelle. C'est ainsi que Henri-Charles Geoffroy, à l'origine du concept de "la Vie Claire" et que David Servan-Schreiber, un neuropsychiatre qui écrivait notamment dans Psychologies magazine, ont pu augmenter significativement leur espérance de vie en changeant complètement leur mode de vie. Ils ont tracé un chemin qui ne constitue pas seulement un accompagnement "anticancer" mais plus généralement un code de conduite pour se maintenir en bonne santé, avec un régime alimentaire reposent sur une alimentation principalement végétalienne, avec des produits naturels de bonne qualité, une réduction du stress dans la vie quotidienne, des moments de méditation, en développant une vision positive de la vie, ... bref, en optant pour une vie meilleure plutôt que de passer le reste de leur vie à lutter contre une maladie.

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