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Il est difficile de parler de la nature divine, ou encore de "Dieu", puisque cette notion recouvre différentes acceptions selon les croyances. Le simple terme de "Dieu" évoque d'ailleurs un aspect masculin, alors que s'il s'agit d'un principe supérieur, le Créateur, la Source, et il n'y a pas lieu de lui attribuer un sexe. Les divinités ont été imaginées par les hommes pour expliquer ce qu'ils ne connaissent pas, qu'il s'agisse de manifestations visibles ou invisibles... De nos jours, la plupart des manifestations visibles et une partie des manifestations invisibles sont expliquées par la science. C'est pourquoi beaucoup ont l'impression que Dieu n'existe pas, que "Dieu est mort" (selon Nietzsche), que la science a fait reculer le domaine du divin, alors qu'en réalité c'est la conception de Dieu qui a évolué au fil des siècles, faisant décliner les anciennes institutions religieuses qui laissent progressivement la place à de nouvelles institutions qui reprennent à leur compte une partie des anciennes croyances, quitte à les déformer et les diaboliser, en effacent les traces et transforment ou détruisent les anciens lieux de culte afin de mieux les supplanter.

 

Dieu à travers l'histoire

 

Au commencement, nos ancêtres lointains n'avaient pas de dieux. Ils avaient l'apparence de grands singes qui commençaient à se tenir debouts et dont la vie se résumait à la chasse, cueillette, plus rarement la pêche, et bien sûr, la reproduction et un instinct de groupe très important... Du moins, c'est ce que l'on nous enseigne actuellement.

 

L'histoire que je vais développer ci-après donne une ouverture au-delà de l'histoire conventionnelle. Je ne vous la donne pas comme une vérité mais comme une réflexion et je la mettrai à jour sans doute plusieurs fois encore avant d'avoir trouver l'adéquation qui me semble la plus plausible.

 

Pré-Genèse/ Le combat dans les Cieux

 

 

 

 

0/ La création de l'homme primordial (Adam Kadmon)

 

Des "dieux mineurs", les Igigis, ont été assignés à ces tâches de colonisation et d'exploitation de la planète. Cependant, ceux-ci se sont rebellés et Ea-Enki, l'un des dirigeants Annunakis, grand savant, proposa au conseil de créer une race inférieure qui leur servirait d'esclaves à la place des Igigis. Ils utilisèrent donc leurs connaissances en manipulation génétique afin de créer un être hybride issu d'une ou plusieurs espèces animales (matériau souvent symbolisé dans les anciennes traditions mystiques et religieuses par de la terre ou de l'argile) et de leur propre ADN (symbolisé par le souffle divin ou la semence divine). Après de nombreux essais, le résultat était atteint : l'homme primordial était né... né pour servir d'esclave aux dieux annunakis. Une fois le prototype créé, ils en créèrent d'autres à partir de cellules souches de ce même hominidé originel, ce qui est retranscrit selon les traditions par la côté d'Adam, la cuisse de Jupiter, etc... Si cela pouvait paraître impossible il y a un siècle, nos technologies actuelles et les expériences menées au Royaume-Uni et ailleurs nous montrent que les manipulations génétiques et même d'hybridation humano-animales (à des fins scientifiques et thérapeutiques, bien sûr ?) ne sont pas de la pure science-fiction.

 

Ainsi, l'homme primordial a-t-il été créé et implanté dans de grands "jardins d'eden" (il y en avait plusieurs dans différentes régions géographiques et notamment en Mésopotamie), afin de cultiver la terre et d'y extraire certaines ressources naturelles utiles à la technologie des reptiliens et des annunakis qui leur étaient soumis.

 

Après avoir exploiter suffisamment la planète Terre, les Annunakis retournèrent sur leur planète et quelques Reptiliens restèrent aux alentours afin de surveiller leur développement.

 

 

1/ Le panthéisme matriarcal

 

L'hominidé appréciait sa situation d'animal supérieur sans s'en enorgueillir pour autant. Il vivait dans des abris faits de branches et de feuillage ou dans des grottes, il était nomade si besoin et s'alimentait de ce qu'il trouvait dans la nature; il ne tuait d'animaux que par nécessité. Sa vie était organisée autour de tribus familiales (au sens large). Il respectait les traditions ancestrales ainsi que les aînés qui en étaient les garants. Il vivait en harmonie avec la (Dame) Nature qui prenait la forme de 4 ou 5 éléments : eau, feu, air, terre et parfois le métal. Il vouait un culte à la Déesse-Mère ou parfois Terre-Mère (Tiamat ou Gaïa). Les déesses dominaient dans leurs croyances et le principe soutenu était celui de l'immanence divine bien que Dieu ne soit pas véritablement nommé. La femme y avait une place de choix en tant que mère donneuse vie et on lui prêtait des pouvoirs surnaturels (sorcellerie, phytothérapie, shamanisme, spiritisme, ...). La société était "matriarcale". 

 

 

2/ Le culte des astres-dieu (astrolâtrie) et des Elohims/Annunakis (Fils des Dieux)

 

D'anciennes tablettes sumériennes et d'autres recherches ont abouti à une histoire bien plus ancienne que les premières civilisations dont nous parlons actuellement dans nos livres d'histoires. Notamment, les recherches de Zecharia Sitchin ont semé le trouble chez les scientifiques et archéologues actuels (cf vidéos : "Sumerians and the Annunaki" ou encore "les archives oubliées"). Les Annunakis, considérés par ces premiers hominidés comme des dieux supérieurs, seraient d'anciens habitants d'une planète voisine (Nibiru-Nibur-Neighbour) du système solaire, qui avait été attaquée et annexée par une race que certains appelle les Reptiliens, eux-mêmes soumis à un système de hiérarchie pyramidale. La collision entre Tiamat et Mardouk rendit les conditions de vie sur Mardouk (devenue "Nibiru") très difficile, il a été nécessaire de trouver des

 

Peu à peu, vint la sédentarisation avec l'apprentissage de la culture du sol et de la conservation de troupeaux (cf origines de notre alphabet). Certains peuples avaient même été enseignés par des extraterrestres pour développer leurs techniques. Les hommes ayant plus de temps pour eux, ils commencèrent à observer le ciel. Ils découvrirent les astres et comprirent que la Terre-Gaia n'était pas leur seule source de vie : les dieux étaient partout ! Les sumériens rendèrent alors un culte aux astres, ce qui fut appelé astrolâtrie. Ces astres étaient personnifiés en des entités bien réelles. Leurs associations furent reprise dans les mythologies suivantes.

 

3/ Le polythéisme

 

Les peuples païens vénéraient alors autant de dieux qu'ils avaient de besoins (polythéisme). Ainsi trouve-t-on dans la mythologie celte un dieu de la médecine (Diancecht), un dieu des chevaux (Epona), un dieu des techniques et des arts (Lug) ; dans la mythologie égyptienne une multitude de dieux selon les villes, avec notamment des dieux de l'agriculture, des dieux protecteurs de lieux saints ou de la maison ; dans la mythologie grecque plusieurs dieux consacrés aux astres et à leur lumière (Gaïa, Héméra, Ether, et Ouranos) du fait de leur intérêt pour l'astrologie ; et dans la mythologie romaine des dieux - en majorité inspiré du panthéon grec - beaucoup plus en rapport avec le monde matériel, comme un dieu protecteur des troupeaux contre les loups (Faunus), un dieu de la vigne et de la fête (Bacchus), un dieu de la guerre (Mars) et une déesse de la guerre (Bellone), une déesse de la chasse et de la lune (Diane), une déesse des combats (Minerve). Il faut cependant noter que de grandes préoccupations comme l'Amour (Eros chez les Grecs, Cupidon et Vénus pour les Romains), la Mort (Thanatos chez les Grecs, Orcus chez les Romains), l'Enfer (Hadès chez les Grecs, Pluton chez les Romains), le Ciel (Zeus chez les Grecs, Uranus chez les Romains), le Foyer (Hestia chez les Grecs, Vesta chez les Romains) ont des dieux dans chacune des mythologies mentionnées. De nos jours, un mysticisme naturaliste refait surface avec des tendances new age ou wiccanes vouant un culte à la nature, au "Dieu Cornu" et à la "Déesse Mère".

 

4/ L'hénothéisme en Dieu-Soleil (culte solaire)

 

A travers le polythéisme antique s'est développé l'hénothéisme, c'est à dire, selon Philippe Borgeaud, "l'attention portée à un seul dieu à la fois, celui auquel on adresse sa prière ou son sacrifice, et qui représente à lui seul, dans le temps de cette action, la totalité du divin". Si des cultes différents pouvaient exister selon le dieu sumérien choisi, un seul culte est véritablement à l'origine du développement du monothéisme patriarcal d'où sont issues nos trois grandes religions monothéistes. Le culte solaire rendu au dieu "Aton" a largement contribué au monothéisme actuellement répandu.

 

Historiquement, c'est Abraham qui l'introduisit. A cette époque, c'était An/Anu qui fut reconnu comme le Dieu principal, le Dieu du Ciel, Dieu-le-père de tous les dieux. C'est ce dieu dont on parle dans la Genèse biblique qui a été réécrite pour l'occasion pour embrouiller les chercheurs de vérité. La trinité originelle est bien patriarcale : Anu (dieu-le-père) et ses deux fils Enlil et Enki. Cela permet de comprendre d'où provient cette idée que la femme serait un être inférieur.

 

A noter que "Anu" signifie en sanscrit l'atome originel,et que le dieu du soleil égyptien était nommé Aton ou Atoum-Ré (ce qui donné le mot "atome") et son premier pharaon serviteur Akhénaton. Sur Wikipédia, il est précisé (références à l'appui) : "Atoum naît de façon autogène de Noun, personnification de l'océan primordial : Atoum, « Celui qui advient de lui même », se distingue du Noun et vient à l'existence en prenant conscience de lui-même". Noun étant le Nom en anglais, ou encore le Verbe. Pour aller plus loin, vous pouvez lire l'article "Moïse, Fils d'Aton"

 

5/ L'hénothéisme en un Dieu-Temporel

 

Les fils-des-dieux, c'est à dire Enki et les siens, se sont épris de filles-des-hommes, les ont connu (sexuellement) et leur ont apporté la Connaissance (grâce à l'ADN). Voyant cela, qui sera nommé par la suite "péché originel", Anu les a maudit et voulut faire périr l'ensemble de l'humanité. Cependant, Enki (le dieu de l'eau et de la sagesse) et les siens (ses anges) s'y opposèrent et furent déchus du Royaume céleste de dieu-le-père Anu. C'est ainsi qu'Ea-Enki a été appelé Lucifer, le porteur de lumière et de connaissance, ainsi que Satan, celui qui s'oppose à son père et tente de protèger les êtres humains. C'est aussi le fils prodigue de la parabole, celui auquel les esséniens et bien d'autres courants ésotériques, comme les templiers (sous le nom de Baphomet), vouaient un culte.

 

Anu demanda à Enlil, le fils obéissant, de tuer son frère Enki, le fils rebel. Cette rivalité entre les deux frères a été déformée également :

- dans l'Apocalypse de Saint Jean et dans le Livre d'Henoch, ce fut la rivalité entre les archanges Michel et Lucifer,

- dans la Genèse, ce sera Caïn (le fils moins apprécié) qui tuera son frère Abel (le fils préféré).

 

Toujours est-il qu'Enlil se prit également d'affection pour les êtres humains et ne voulut pas tous les faire périr; il promit à son père Anu de ramener son peuple hébreu à l'état d'hébétude originelle dans laquelle il se trouvait au jardin d'Eden : c'est ainsi que se présage le retour au Nouvel Ordre Mondial. Enlil (-El, Eloha, Elohim), le dieu du temps, prit donc la succession d'Anu dans cette oeuvre.

 

6/ La monolâtrie

 

Tandis que l'on nomme habituellement "polythéisme" l'adoration simultanée de plusieurs dieux, la reconnaissance d'un dieu supérieur aux autres dieux est considéré comme de la monolâtrie.

 

Car Enlil, qui s'était pris également d'affection pour les êtres humains et ne voulait plus tous les faire périr comme son père le souhaitait, lui fit la promesse de les ramener à l'état d'hébétude dans lequel les premiers hébreux, Adam et Eve, se trouvaient avant le "péché originel de la connaissance". Ce retour au jardin d'Eden est peut être le Nouvel Ordre Mondial dont parlent tant d'hommes politiques.

 

C'est ainsi que le processus de diabolisation des autres dieux a commencé: Enki devint le serpent (symbole en référence à la fois aux Annunakis et à l'ADN qu'il a donné aux humains) responsable du péché originel qui a extirpé mais aussi Satan, c'est à dire . Ceux qui le soutenait se firent appeler "les anges déchus" (du royaume céleste d'Anu). Une partie des Israélites voulaient prendre le pouvoir : ils ont alors décidé d'imposer leur dieu comme l'unique dieu et rejeter massivement tous les autres dieux en les diabolisant, en allant même parfois jusqu'au massacre, comme ce fut le cas avec Moïse qui poussa son peuple à s'entretuer à cause de ceux qui continuaient à vouer un culte à Baal-Mardouk, sous forme de veau d'or.

 

, tandis que Ea-Enki, le dieu de l'eau, de la sagesse, de la connaissance, c'est à dire celui des Esséniens, a été diabolisé sous la forme d'un serpent à l'origine du péché originel. Il est intéressant de noter également que le culte du veau d'or était associé à Baal-Marduk, le fils d'Enki dans le panthéon sumérien. C'est aussi pour cela que Moïse se déchaîna avec autant d'ardeur lorsqu'il se rendit compte que son peuple rendait de nouveau un culte à ce dieu qu'il rejetait. Soit dit en passant, la Genèse biblique est une pâle copie dénaturée de la cosmogonie sumérienne.

 

 

c'est le culte qu'Abraham porta au Dieu du temps, Enlil. C'est Abraham qui en est à l'origine : de culture babylonienne, il choisit de suivre un Dieu particulier, qui s'apparenterait à Anu (dieu-le-père, le Dieu de nos pères, le Dieu du ciel des sumériens).

 

7/ Le monothéisme

 

Puis les peuples ont évolué peu à peu vers une conception plus unique (monothéisme) et spirituelle de Dieu, tout en lui reconnaissant des pouvoirs immédiats sur la matière; Dieu était alors considéré comme un Père qui récompensait les bons et châtiait les méchants. Cependant, la simple observation du monde remettait en cause cette conception naïve judaïque. La séparation Paradis / Enfer étant trop dualiste et injuste, on a peaufiné l'explication en distinguant plusieurs niveaux de paradis et plusieurs niveaux d'enfers pour distinguer les plus méritants des moins méritants... On a rajouté ensuite, pour se rassurer, le Purgatoire et les Limbes pour les personnes qui n'étaient ni véritablement bonnes ni véritablement mauvaises. Puis on a assimilé Dieu avec l'Amour, et on ne voyait plus Dieu comme un Etre qui punit mais plutôt qui accompagne les hommes tout au long de leur vie. Cette conception était plus juste, quoique encore trop humaine. Après une longue évolution, certains ont fini par comprendre que Dieu n'était pas un être pensant comme l'être humain, ni un surhomme doté de pouvoirs prodigieux. La croyance en la réincarnation a permis d'appréhender un peu mieux cet univers de l'au-delà, sans toutefois apporter toutes les explications nécessaires à une bonne compréhension de Dieu. L'athéisme pur, c'est à dire un rationnalisme aveugle, n'a finalement jamais été très répandu, puisqu'il aurait conduit les civilisations à leur perdition.

 

8/ Le scientisme

 

Le scientisme, c'est à dire la croyance dans la suprématie de notre science, est sans doute la croyance qui a permis de contribuer au déclin

 

 

9/ Le retour à une véritable compréhension spirituelle de Dieu


Dieu n'est pas un être qui peut être appréhendé par l'entendement humain. Si l'homme peut connaître une parcelle du divin, c'est à travers les lois que Le Créateur a établies pour régir l'univers. Ces lois sont immuables comme Lui, et se déclinent à tous les niveaux, des plus éthérés vers les plus matériels. Au regard de ces considérations, vous comprendrez que je préfère employer l'expression de "PRINCIPE DIVIN" voire simplement le mot " (le) DIVIN", notion plus abstraite qui me permet d'éviter l'écueil de la personnification de Dieu pourtant si répandue encore de nos jours !


La représentation physique de(s) Dieu(x) à travers les cultures : Dieu, de par sa nature, ne peut avoir une forme matérielle ; cependant, il est souvent représenté par des traits humains, féminins ou masculins selon les cultures (voir fresque de la création d'Adam, de Michel-Ange), voire même avoir des caractéristiques animales (s'agissant des dieux païens). D'un autre côté, certaines croyances refusent de représenter Dieu (par exemple l'Islam).

Les qualités et pouvoirs attribués au(x) Dieu(x) : ils sont en rapport direct avec les préoccupations et le degré d'évolution (et de compréhension) des (groupes d')hommes qui leur vouent un culte.  Les "païens" vénéraient une multitude de dieux, qui pouvaient gouverner un élément matériel (le Soleil = Rê chez les égyptiens, la Terre = Gaïa chez les Grecs, la Pluie = Chicchan chez les Mayas, la Foudre = Zeus chez les Grecs, la Tempête = Huracan chez les Mayas, ...) ou une capacité supérieure ("semi-matérielle") (la Technique et les Arts = Lug chez les Celtes, la Médecine = Diancecht chez les Celtes, la Guerre = Arès chez les Grecs), ou encore un principe ou une valeur métaphysique (l'Amour = Eros chez les Grecs, la Mort = Thanatos chez les Grecs, l'Enfer = Hadès chez les Grecs, la Fertilité et l'Abondance = Freyr chez les Scandinaves, le Foyer = Hestia chez les Grecs). Dans ce panthéon de divinités, il pouvait exister une hiérarchie entre les Dieux, notamment en fonction de leur filiation ou de leurs affrontements, et l'on trouvait souvent parmi eux des couples de dieux puissants tels que le dieu cornu et la déesse mère dans le chamanisme (paléolithique), Isis et Osiris chez les Egyptiens, Zeus et Héra chez les Grecs, ou encore le Quetzalcoalt (dieu de la civilisation) et le Tezcatlipoca (dieu de la mort) chez les Aztèques. Les croyances monothéistes notamment judéochrétiennes, ont concentré les qualités et pouvoirs en un seul Dieu, objet d'une grande vénération. Cependant, pour satisfaire des besoins plus "matériels", ils s'adressent souvent à des "divinités inférieures" tels que les anges, ou encore des défunts dont la qualité de vie a été jugée exemplaire (un "Saint" ou un "prophète") ou même des défunts proches.


Le culte de(s) Dieu(x) : les Dieux sont vénérés de différentes façons, que ce soit dans un lieu "saint" ou à l'écart, dans une tenue particulière (habits, posture, gestuelle), en respectant un rituel plus ou moins complexe, et des prières (pardon, purification, guérison, technique, récolte, ...) selon le Dieu auquel on s'adresse, et souvent en échange d'une offrande, qu'elle soit immatérielle (temps consacré, effort, engagement à cultiver quelque chose d'immatériel), semi-matérielle (action ou réparation), ou matérielle : nourriture, animal voire d'être humain qui peut être sacrifié dans de vieilles traditions). Ce culte repose sur la loi de l'échange, c'est à dire sur un principe alchimique. Des rites de passage sont prévus dans toutes les religions afin de montrer une progression vers la "Connaissance".

 

Les représentants de Dieu(x) :à l'origine des croyances religieuses, il y a souvent des personnes fanatiques, dans le sens où elles se croient inspirées par la Divinité, voire se confondent avec la Divinité. Elles acquièrent ainsi un pouvoir sur d'autres personnes et leur prescrivent une conduite à tenir dans leur vie, ce qui est d'autant plus ressenti lorsqu'un Etat ne tolère qu'une seule religion ou quand les dirigeants religieux élaborent des dogmes tels que celui de leur propre infaillibilité. Ce fonctionnement engendre alors des relations et des abus de pouvoir avec des déviances pouvant aller très loin. Ainsi, les incas s'adonnaient jadis aux sacrifices humains ; d'autres peuples reculés imposent encore de nos jours à de jeunes enfants des mutilations ou des relations pédophiles ou à prendre d'importants risques en guise d'éducation ; le peuple juif dirigé par Moïse s'est entretué à cause d'une statue de Veau en or (livre de l'Exode, 32, 26 - 28). Les chrétiens se sont, eux, engagés dans des croisades sanguinaires dans un but de conversion. De nos jours, nous pouvons citer entre autres les attentats suicides d'islamistes intégristes ou des suicides collectifs, exploitations ou maltraitances dans certaines sectes ou certains groupements ethniques. Rares sont les croyances religieuses basées sur la tolérance et le respect de chacun, comme ce que l'on peut trouver dans le boudhisme par exemple ( http://www.buddhaline.net ).

 

Les livres sacrés : ils détiennent la doctrine et l'histoire enjolivée d'une religion et de ses principaux prophètes. La Bible hébraïque est formée de la Torah (loi de Dieu, en 5 livres = Pentateuque), les Nevi'im (prophéties), et les Ketouvim (autres écrits) ; la Bible chrétienne est formée de l'Ancien Testament et du Nouveau Testament (depuis la naissance de Jésus) avec divers livres supplémentaires; la charia formée du Coran et des paroles de Mahomet (hadits) auxquels sont ajoutés les ijmas (loi de l'unanimité) et les qiyas (analogies); le Triptaka chez les bouddhistes

// voir http://pagesperso-orange.fr/revue.shakti/textsacr.htm ainsi que les pages wikipedia et autres...


Les 3 caractéristiques de Dieu :
- source créatrice de toute chose, il est en tout : omniscient et omnipotent
- non soumis au temps : éternel et immuable
- non soumis à l'espace : il est partout et en tout, à la fois transcendant et immanent


Les 3 approches de Dieu (ou la nature trinitaire de Dieu) :
- intérieur à nous-même, ou encore le "Dieu le Fils ou le Christ" chez les Chrétiens
- extérieur à nous-même ou encore "Dieu le Père" chez les Chrétiens
- relationnel entre l'intérieur et l'extérieur, ou encore le Saint Esprit chez les Chrétiens.

 

Dieu est un mot définissant l'ABSOLU et l'ORIGINE de TOUT. Il est aussi appelé "la Source", "le Créateur", "le Grand Architecte", "l'Un", "l'Alpha et l'Omega", "la Substance Universelle", la Conscience",... Dieu est le seul, si je puis m'exprimer ainsi (puisqu'il n'est pas véritablement distinct de nous), à être éternel, donc immortel. Il est ce qui permet d'exister, de vibrer. Tout finit par s'auto-détruire ou à retourner à Dieu. D'une certaine façon, nous sommes tous des facettes de Dieu - conscience expérimentant diverses expériences dans les plans inférieurs.

 

 

REMARQUE TERMINALE :

 

Dieu n'est pas séparé. DIEU est unité, il est le TOUT COSMIQUE, il est PARTOUT et en TOUT. Il n'existe pas de particule divine car toutes les particules sont divines.

 

Les Saints Anges ne sont que des facettes de Dieu à un niveau plus élevé, tout comme nous (êtres humains) sommes des facettes de Dieu sur des plans inférieurs.

 

Vous devez vous dire : "JE-SUIS (JESUS/FILS DE DIEU =) DIEU (ANALOGIE) FAISANT UNE EXPERIENCE (DISSOCIATIVE = CONTRADICTION) D'INCARNATION (DESCENTE/EVOLUTION)". NOUS SOMMES TOUS DIEU. LA SEPARATION N'EST QU'UNE ILLUSION DE L'ESPRIT ET D'UN ENSEMBLE D'ETRES CONSCIENTS CHOISISSANT DE VIVRE CERTAINES EXPERIENCES (PROJECTIONS).

 

 

- AIMONS NOUS (DIEU) LES UNS LES AUTRES CAR NOUS SOMMES TOUS DIEU. Seule cette connaissance intime avec le DIEU EN NOUS, à tous les niveaux (physique, éthérique, astral, mental, causal, bouddhique, spirituel), dans tout notre être, peut nous amener à l'illumination christique et le retour vers Dieu.

 

 

MOTS-CLES :

 

LIENS:

- Les Noms de Dieu et le Tetragrammaton

- Les Noms_de_Dieu_dans_le_judaïsme (Wikipedia)

- La Mythologie_juive (Wikipedia)

- http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/01/3485374.pdf

- http://contre-la-pensee-unique.org/blog/2012/02/22/mythes-sumeriens/

- les 10 premiers chapitres de la Genèse selon Fabre d'Olivet

- mythologie sumérienne et histoire des sumériens

- l'agroglyphe d'Ea-Enki (en anglais, sur in5d.com)

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